Tous les joueurs, même les plus effacés dans l'alignement, sont confrontés à la pression médiatique ou même des partisans, mais ça fait partie de la game.
Et honnêtement, ce n'est pas fait pour tout le monde, comme on a pu le voir au fil des années, sans nommer de nom.
Les joueurs vedettes, les leaders, le gardiens de but numéro un, l'entraîneur-chef et le DG ont leur lot de pression, eux qui sont épiés étroitement par tous les yeux extérieurs.
Les Nick Suzuki, Cole Caufield, Samuel Montembeault, Brendan Gallagher, Martin St-Louis et Kent Hughes, pour ne nommer que ceux-là, ont tous de la grande pression sur leurs épaules, mais ils s'en sortent bien, disons-le.
À la suite de l'élimination des États-Unis aux mains de la Tchéquie lors du Championnat mondial de hockey senior, Cole Caufield s'est fait poser une question intéressante.
Un journaliste lui a effectivement demandé quelle est la meilleure partie de jouer à Montréal ainsi que la pire.
Il a été très honnête dans sa réponse.
On peut donc comprendre que le numéro 22 carbure à cette forte pression, sinon il n'aurait pas signé un contrat de huit ans avec l'organisation qui l'a repêché en première ronde, lors du repêchage 2019.
Caufield, 23 ans, a amassé 65 points, dont 28 buts, en 82 matchs cette année, maintenant un différentiel de -4.
SONDAGE | ||
Quel membre du CH a le plus de pression, selon vous? | ||
Nick Suzuki | 36 | 14.8 % |
Cole Caufield | 52 | 21.4 % |
Samuel Montembeault | 74 | 30.5 % |
Kent Hughes et/ou Martin St-Louis | 81 | 33.3 % |
Liste des sondages |